Retrouvez les répliques en voix off de Michael Westen dans l'épisode 102 de Burn Notice, 'Espion ou escroc'. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
ÉPISODE 102 | ESPION OU ESCROC
VO : A surveillance photo can tell you a lot about the photographer. Surveillance takes planning. You have to scout the area. You need a place to sit and wait for the target for an hour or ten. You need to take a leak now and then. Lots of chances to get seen. VF : La photo d'une filature peut vous apprendre beaucoup de choses sur le photographe qui l'a prise. Surveiller quelqu'un exige du temps. Il faut d'abord reconnaître les lieux, trouver un endroit où pouvoir s'asseoir en attendant la cible. Une heure, ou dix. Pouvoir se soulager de temps à autre. Autant de chances de se faire repérer. |
VO : You can’t choose your intelligence sources. Might be a heroin smuggler, a dictator or your mom. |
VO : My mother’s understanding of my career changes with what she wants from me. One day she can name everyone on the National Security Council. The next day she thinks I work for the post office. VF : La façon dont ma mère comprend mon métier change en fonction de ce qu'elle attend de moi. Un jour, elle peut citer tous les membres du Conseil National de Sécurité, le lendemain elle croit que je travaille comme facteur. |
VO : Not all bugs are the same. If it’s got a battery, it’s disposable, short-term. If it’s wired into the house power, it’s a longer-term thing. If it has a transmitter, you can figure out how close the listener is. VF : Tous les mouchards ne se ressemblent pas. S'ils sont alimentés par des piles, c'est pour un usage ponctuel limité dans le temps. S'ils sont reliés au circuit électrique, là c'est une surveillance à long terme. Et s'ils sont équipés d'un émetteur, vous savez que celui qui vous écoute n'est peut-être pas loin. |
VO : Once your surveillance knows you’re onto them, the clock starts ticking. They know you’re coming, so the question for them is whether they can destroy their equipment and get out of there in time. The question for you is whether you can find them before every bit of useful information is turned into a pile of burning slag. VF : Quand ceux qui vous espionnent savent qu'ils sont repérés, le facteur temps est crucial. Toute la question pour eux est d'avoir le temps de détruire leur matériel, et de s'enfuir avant que vous n'arriviez. Le tout est de savoir si vous les trouverez avant que les informations qui pourraient vous être utiles ne finissent en un tas de ferraille carbonisé. |
VO : There’s a reason spies don’t have a lot of parties. Everybody's got a history with everyone else. |
VO : Often, the best way to get intel is to provoke action, set people in motion. Pros know better, but they usually have to work with a few amateurs, and they panic. So, you beat the bushes a little and see what flies out. Once your frightened amateur leads you to the pros, the work begins. Con artists and spies are both professional liars. Cons do it for the money, and spies do it for the flag, but it’s mostly the same gig. They run operations, they follow security procedures, they recruit support staff and issue orders. VF : Souvent le meilleur moyen d'obtenir des informations est de susciter un peu d'action, de faire réagir les gens. Les pros savent comment se comporter, mais ils travaillent souvent avec des amateurs qui, eux, paniquent facilement. Il suffit de secouer un peu l'arbre et de voir ce qui en tombe. Une fois que l'amateur apeuré vous a conduit au professionnel, le travail peut commencer. Les escrocs, comme les espions, sont des menteurs professionnels. Les escrocs le font pour l'argent, les espions pour le drapeau, mais c'est à peu près le même numéro. Ils organisent des opérations, suivent des procédures de sécurité, recrutent du personnel et donnent des ordres. |
VO : When you go after a spy, you send another spy. The same goes for con artists. To catch one, you’ve got to beat him at his own game, be better liar than he is. |
VO : No matter how good your cover identity is, you’ve got to sell it and that’s not always easy. (...) Sometimes you have to decide just how committed you are to pretending you are who you say you are. |
VO : I don’t like running from cops, but it has its advantages. It builds your credibility with a criminal when you flee a crime scene. |
VO : Eavesdropping and field work go hand in hand. You want to know what your target is saying, what he’s typing into his computer, but technology can’t work miracles. Bugs don’t plant themselves. Fact is, even the fanciest equipment usually needs help from a good old-fashioned crowbar. VF : La mise sur écoute et le travail sur le terrain sont complémentaires. Vous avez besoin de savoir ce que dit votre cible, quelles informations sont contenues dans son ordinateur ? Mais la technologie ne peut pas faire de miracles, les mouchards ne s'infiltrent pas tout seuls. C'est un fait. Même l'équipement le plus moderne a parfois besoin de l'aide d'un bon vieux pied de biche. |
VO : It’s always useful to be able to disable a car remotely. A cell phone, some wire, you can ground the circuit on the electrical system with a phone call. |
VO : A good cover identity keeps the target feeling in control. You talk too much, drink too much, just to let him know he’s got the edge. |
VO : Go after a group of people directly and they pull together, they get stronger. Taking on a tight-knit group is about making them turn on each other. You plant the seeds of distrust and watch them grow. (…) Of course, sowing seeds of distrust is harder when nobody trusts you. VF : Attaquer directement un groupe de personnes et vous les verrez se rassembler, elles seront plus fortes. Pour diviser un groupe soudé, il faut amener les individus à se retourner les uns contre les autres. Semer les graines de la discorde et regarder pousser le résultat. (...) Bien sûr, semer les graines de la discorde est bien plus difficile lorsque personne ne vous fait confiance. |
VO : Sometimes a great plan comes together just a little bit too early. (...) You’ve been in the business way too long when you recognize the sound of a .45 caliber over a phone. |
VO : That’s what happens when you wire a cell phone to a blasting cap in the gas tank instead of the electrical system. |
VO : Whether you’re in Moscow, Tehran or Miami, club girls are a good source of information. Men say things to a beautiful woman. They give out phone numbers, hotel keys. They let down their guard. Getting information from a club girl means buying drinks. It’s no problem with an operational slush fund, it’s a big problem if you’re spending cash scrounged from you mum’s purse. VF : Que vous soyez à Moscou, Téhéran ou Miami, les filles qui traînent dans les clubs sont toujours une bonne source d'informations. Les hommes racontent volontiers leur vie à une belle femme, ils donnent leur numéro de téléphone, les clés de leur chambre d'hôtel, ils relâchent leur vigilance. C'est assez facile de faire parler ces filles en leur offrant à boire. C'est pas un problème quand on a les fonds sur son compte en banque, c'est plus compliqué quand on dépense de l'argent extorqué auprès de sa propre mère. |
VO : A hit man is like a plumber, a dentist or a mechanic, everybody’s always looking for a good one. VF : Un tueur à gages, c'est comme un plombier, un dentiste ou un garagiste, tout le monde en cherche un qui soit bon. |
VO : I don’t much like dealing with paranoids. They get erratic, make bad decisions. Of course, that can be a help when you need them to make a bad decision. VF : Je n'aime pas beaucoup traiter avec les paranoïaques. Ils sont imprévisibles, ils font des erreurs de jugement. Bien sûr, ça peut vous être utile si vous avez justement besoin qu'ils fassent le mauvais choix. |
VO : Truth is, identity theft isn’t hard. A number and an ID is all you need to drain a bank account and return a lot of money to some very surprised retirees. But why stop there? As long as you’re stealing someone’s identity, why not use it to contact some known terrorist organizations on unsecure phone lines. Why not use it to threaten some federal judges and insult the local drug cartel ? Most fun I’ve had in Miami. VF : En vérité, il n'y a rien de plus facile que d'usurper une identité. Un numéro de compte et une carte d'identité, c'est tout ce qu'il faut pour vider un compte en banque et rendre un bon paquet de fric à des retraités qui ne s'y attendaient pas. Mais pourquoi s'arrêter là ? Puisque vous le faites sous le nom d'un autre, pourquoi ne pas contacter des organisations terroristes bien connues sur des lignes non sécurisées ou encore menacer quelques juges fédéraux et insulter la mafia locale ? Je ne m'étais jamais autant amusé à Miami ! |
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